Ma première action philanthropique a été d’organiser des ateliers de sensibilisation pour les écoles. Ambassadrice de l’École des Arts & de la Communication (EAC) et marraine d’un festival d’art à Coupvray. J’ai animé des atelier pour des classes de primaires, et des étudiants afin de sensibiliser notre jeunesse aux effets négatifs des réseaux sociaux. Cette expérience m’a convaincue qu’il était temps d’agir et vite !
Ainsi est née le fond de dotation My Human, dans le but de rassembler nos valeurs humaines pour reconnecter notre jeunesse à la vie réelle, en utilisant le sport, l’art et les cultures comme vecteurs de connexion.
Dans une société de plus en plus attirée par les relations en réseaux sociaux, les humanoïdes, et la créations d’avatars, j’espère que mes actions laisseront un héritage durable.
Fin.
English
FR & ENG + RESUME
À l’âge de 20 ans, le moment le plus marquant de ma vie fut ma première exposition à l’ESPACE PIERRE CARDIN. En toute honnêteté, j’ai estimé qu’il été trop tôt pour exploiter ce succès. J’ai choisi de me retirer pour me cultiver, me perfectionner, et mûrir. Neuf ans se sont écoulés avant que je n’acquière le lâcher-prise et la maîtrise de mon art.
Je développe mon langage en empruntant une ligne graphique immédiatement reconnaissable, je donne naissance à mes personnages vus que de profils, sens étymologique de vérité. Car il est impossible de se voir de profil, il est impossible de maîtriser son profil mais il est possible de créée son avatar sur les réseaux sociaux (faux profil).
C’est à ce moment-là que je me suis sentie prête à revenir en faisant partie du mouvement “écriture automatique”. Un mois et demi d’exposition sur les Champs-Élysées chez ACF et d’autres événements m’ont permis de véritablement vivre de mon art. À 34 ans j’exposer pour Joey Starr. Puis je fus la première artiste choisie par la NBA pour représenter la culture du basket. J’ai créer des œuvres en direct devant des milliers de fans aux côtés de Rip Hamilton, champion du monde de basket. Les opportunités artistiques se sont succédé avec les #50BEST, qui m’ont offert une exposition au Musée du Quai Branly. Depuis, j’ai collaboré avec de nombreuses entreprises et chefs étoilés, et j’ai été sollicitée pour concevoir des identités visuelles portant ma signature.
Depuis cinq ans, mon objectif est de créer une fondation en faveur de l’humanité.
Mon exposition « Electric Field », basée sur ma réflexion autour de la création d’humanoïdes, en prise direct avec l’electricité qui nous anime ainsi je mets en avant nos trois pôles indissociables : l’âme, mâle, femelle…
Je m’oppose aux profils artificiels et à promouvoir l’authenticité et l’humanité sur les réseaux sociaux. En mettant en avant les liens humains et en remettant en question les stéréotypes de genre et le sectarisme, je promouvoie l’humanité, mon objectif est de recréer des connexions authentiques entre les individus, sans aucune forme de distinction.
English
At the age of 20, the most defining moment of my life was my first exhibition at ESPACE PIERRE CARDIN. In all honesty, I felt it was too soon to capitalize on that success. I chose to step back to educate myself, refine my skills, and mature. Nine years passed before I gained the ability to let go and truly master my art.
I developed my artistic language by adopting a graphic line that is immediately recognizable, giving birth to my characters always seen in profile, in the etymological sense of truth. Because it is impossible to see oneself in profile, impossible to control one’s profile, yet possible to create an avatar on social media a false profile.
It was at that moment that I felt ready to return, aligning myself with the automatic writing movement. A month and a half of exhibitions on the Champs-Élysées at ACF, along with other events, allowed me to truly make a living from my art.
At 34, I exhibited for Joey Starr. Later, I became the first artist chosen by the NBA to represent basketball culture. I created live artwork in front of thousands of fans alongside Rip Hamilton, world basketball champion.
Artistic opportunities continued to unfold, notably with the #50BEST, which led to an exhibition at the Musée du Quai Branly. Since then, I have collaborated with numerous companies and Michelin-starred chefs and have been sought after to design visual identities bearing my artistic signature.
For the past five years, my goal has been to establish a foundation for humanity.
My exhibition « Electric Field » explores my reflections on the creation of humanoids, directly connected to the electricity that animates us. It highlights our three inseparable poles: soul, male, female.
I stand against artificial profiles and advocate for authenticity and humanity on social media. By emphasizing human connections and challenging gender stereotypes and sectarianism, I promote humanity, striving to rebuild authentic connections between individuals, without any form of distinction.
My first philanthropic initiative was organizing awareness workshops in schools. As an ambassador for the École des Arts & de la Communication (EAC) and a patron of an art festival in Coupvray, I led workshops for primary school children and students to raise awareness of the negative effects of social media. This experience convinced me that action was urgent.
Thus, the My Human endowment fund was born, with the mission of uniting our human values to reconnect young people to real life, using sports, art, and culture as bridges for connection.
In a society increasingly drawn to virtual relationships, humanoids, and the creation of avatars, I hope that my efforts will leave a lasting legacy.
End.
